Ding Dong[terminer]

De l'endroit où elle se trouvait, elle ne voyait pas très bien ce qui se cachait derrière ces murs de briques immense, elle essaya de grimper sur les barreaux noirs, mais ceux-ci glissaient énormément et ses efforts ne servait à rien. La troisième fois où elle tomba sur le dos elle décida d'être plus polie et de chercher une sonnette,une cloche ou un haut parleur pour contacter les gens à l'intérieur. Elle remarqua alors sur la plaque à la gauche d'elle qu'elle se trouvait devant une école pour élève surdoué. Elle trouva l'occasion idéal, elle pourrait dire qu'elle passait par là et qu'elle avait vu l'école et qu'elle était intéressé de venir s'installer ici. Par la suite elle n'aurait qu'à trouver où il cachait leur argent et elle partirait avec le trésor sans que personne ne la voit . Il ne lui passa pas une seconde par la tête l'idée qu'ils ne la croiraient pas et qu'elle pourrait visiter l'école sans ses parents et sans ses résultats scolaires.

Elle trouva une petite sonnette proche de l'endroit ou elle se trouvait. Elle appuya une fois dessus et trois longues secondes passèrent sans que personne ne lui réponde. Elle sonna une autre fois, mais cette fois si, plus impatiente, elle donna plusieurs coups de sonnette jusqu'à ce que quelqu'un se décide de lui répondre.

* Pourquoi c'est si long avant qu'on me réponde? Cela fait bien 5 secondes que j'ai sonné ! *

Elle était enfaite très nerveuse, car elle n'avait jamais fait d'acte considérer illégal dans sa vie et même si elle ne voulait pas l'avouer, elle aurait bien fait demi tour et rentrer chez elle, mais elle ne voulait pas rentrer les mains vides.

Elle leva la tête vers le haut du mur de brique et aperçu avec surprise une petite caméra qui la regardait et surveillait tout les mouvements qu'elle faisait. Elle tira la langue à cette petite espionne et continua d'appuyer contre la sonnette sans relâche.

Wolverine éssayait de manger tranquille. Et quelqu'un s'amusait avec la sonnette. Et franchement, ça l'énervait. Il se leva, posant son café sur la table, et partit en maugréant dans le Hall. Et ça continuait à sonner. Il aurait pu lui ouvrir d'ici... mais non. Il préferait aller pousser une bonne gueulante histoire de se libérer un peu des pressions du moment.

Logan sortit furibond dans le parc, en se dirigeant de toute hate vers la grille. Il marchait vite, en prononçant des jurons. Arrivé à l'entrée du domaine, il aperçut une jeune femme qui sonnait sans s'arrêter, n'ayant même pas la patience d'attendre qu'on lui ouvre.
- Hey, c'est pas bientot fini, là, j'arrive!, prononça t-il de manière à ce que personne ne puisse l'entendre.

Puis, calculant son coup, il décida de transpercer le mur d'un coup de griffes à quelques pouces de la sonnette, pour surprendre la jeune femme.
Il sortit ses griffes, grogna et transperça la pierre comme du beurre en criant:
- Stop!

Après celà, il passa sa tête par la fente de la grille, vit la jeune femme et la regarda d'un air furieux.
- Quand on sonne, on attend que les gens viennent ouvrir, bordel!

Il ouvrit manuellement la grille, et s'empressa de rentrer dans le manoir, énervé, sans attendre la jeune inconnue.

Le son de la brique qui se trancha pour laisser passer 3 griffes immondes firent paniquer Kalim qui retira sa main immédiatement de la sonnette. Elle regarda les griffes, intrigué de leur provenance, elle ne pensa pas prendre de distance, elle ne pensait pas au danger croyant qu'elle serait toujours plus rapide que la mort. Les griffes se retirent aussi vite qu'elle était apparu sur le mur et un homme passa la tête à travers les barreaux. Il n'avait pas un sourire joyeux sur son visage, il avait plutôt l'air de ce gars que l'on voit à la TV qui est le meurtrier. Il lui lança férocement quelques paroles :

- Quand on sonne, on attend que les gens viennent ouvrir, bordel!

Elle voulu dire quelques mots pour se défendre, mais la stature de l'homme devant elle l'empêchait de sortir un mot de sa bouche. Elle aurait voulu lui lancer qu'il n'avait qu'a être plus rapide que se n'était pas sa faute, mais d'autres questions plus importantes tournoyait dans sa tête, si il était l'auteur de ses griffes à travers le mur, il était donc un mutant, comme elle. Il ne devait alors pas avoir peur de s'afficher puisqu'il n'avait aucun indice pour dire qu'elle était un mutant elle aussi.

Il lui ouvrit les grilles comme si l'action était naturel. Elle entra très rapidement à l'intérieur de peur que les grilles se referment avant qu'elle est eu le temps d'y pénétré. Elle regarda l'homme, qui ne semblait pas du tout calme, se diriger vers le bâtiment d'un pas presser il avançait rapidement avec ses longues jambes, il avait même l'air de ne pas l'attendre. Elle se demanda même alors si il était le seul propriétaire de cet endroit, il ne devait cependant pas être le directeur, car il ne lui souhaitait même pas la bienvenue dans son école. Elle regarda un peu autour de elle avant de se mettre à sa poursuite.

- Monsieur avec les 3 griffes!

Elle voulait maintenant lui poser des questions, elle ne pensa pas à la raison principal qui l'emmenait dans cette école, c'est à dire le vol d'argent pour ses parents. Elle voulait maintenant savoir si il était vraiment un mutant, elle n'avait jamais rencontré de gens comme elle. Même si elle l'avait interpellé l'homme continua sa route en l'ignorant. Elle décida de prendre les devants et utilisa ses pouvoirs pour courir juste à l'avant de lui et lui faire face, un pas de plus et il lui marchait sur les pieds.

- Vous êtes un mutant?

Elle ne s'inquiétait pas de son regard rageur, de ses griffes et encore moins de sa grosseur, il devait la dépasser de 3 têtes et de largeur cela ne se comparait guère. Dans sa course pour se rendre devant lui, son capuchon était retomber dans son dos et il pouvait apercevoir sur son visage un air de jeune femme intéressé par ce qu'elle venait de voir dans les dernières minutes. Au soleil les cheveux de la jeune femme paraissant transparent et reflétait la lumière avec une grande intensité. Ses yeux, eux, fixait ceux de l'homme sans les lâcher, elle voulait une réponse.

Logan éssaya de l'esquiver sur le côté mais elle se retrouvait toujours devant lui. Il soupira, et, forçé, avoua:
- Ouai. On est tous mutants ici. Toi aussi à ce que je vois...

Puis, Wolverine continua sa route vers l'institut, en faisant un signe à la jeune femme de le suivre. Il ouvrit les portes vitrées, et rentra rapidement à l'intérieur du grand édifice. Puis, il regarda l'inconnue dérrière lui. Elle avait l'air ébérluée. Il se permit donc un:
- À ta tête, on voit que tu pensais pas trouver une école de ce type, hein?

Puis, il lui demanda d'entrer et d'attendre que quelqu'un vienne la reçevoir... il avait à faire.

(HRP: la dérnière phrase, je la dit par ce que je viens de me rendre compte que j'avais 3 RP en cours (limite :2) et que donc il fallait que j'en arrête un... mais bon, je t'ai ouvert, et je vais demander à quelqu'un de continuer le RP avec toi! encore désolé ^^)

Elle regarda l'homme partir lui disant de rester là. Elle resta là immobile a regarder autour d'elle, elle essaya de trouver quelque chose d'intéressant à regarder, mais rien ne l'intéressait, elle essaya le plus longtemps possible de rester sur place, mais après 10 longues secondes, après s'être assuré que personne ne regardait, elle avança pour aller explorer l'école, après tout elle était un mutant, tout le monde n'y verrait que du feu si elle se déplaçait dans l'école.

Elle ne prit pas le même chemin que l'homme, il était le seul à savoir qu'elle ne faisait pas partit de cette institut, si il la voyait ailleurs que à l'avant il pourrait de nouveau s'énerver et elle ne tenait pas à une chasse à l'homme, car elle voulait absolument cette argent, elle devait tout tenter pour l'avoir et la ramener.

Elle tomba en premier sur les chambres, elle le comprit lorsqu'elle entra par une porte et qu'une fille lui lança son oreiller pour qu'elle sorte. Elle poussa chaque porte pour regarder qu'est qui se tenait derrière elle, plusieurs étaient barrées alors elle les enfonçaient à coup de pied, par chance aucune des portes barrés renfermaient quelqu'un derrière, à croire que à cette heure tout le monde se trouvait en cours. Une idée lui venu alors à l'esprit: voler une école de mutant serait difficile, alors que dans ces chambres, tout les gens qui y étaient ne devait pas toujours avoir de l'argent sur eux, ils devaient les mettent dans leur chambre, alors en quelques secondes elle vira chaque chambre en désordre et prit l'argent qu'elle y trouva, mais elle évita celle ou une fille lui avait jeté un oreiller en plein visage. Elle resta sur place quelques instants. Elle n'avait pas un grand butin dans les mains, mais s'était mieux que rien. Pour l'instant s'était assez, elle quitta les chambres avant que quelqu'un arrive et découvre ce qu'elle avait fait.

Elle se souvenu alors que le monsieur avait été chercher quelqu'un pour elle, elle devait rapidement y retourner sinon il n'y aurait personne et se serait surement suspect. En quelques secondes elle était revenu à son point de départ, un peu nerveuse, alors elle faisait les cents pas dans la pièce regardant toujours autour d'elle de peur que quelqu'un débarque en criant '' Voleuse! ''.

Elle avait complètement été surprise, cette attaque sans préavis avait été mener à la perfection, car celle qui était plus rapide que le son se retrouvait coincé contre le mur, elle ne pouvait plus s'échapper. Elle regarda les 2 griffes qui se logeaient pratiquement dans son cou, pourtant la peur ne la prenait pas, elle restait calme et leva son regard sur mademoiselle à 2 griffes. Elle remarqua que le regard que celui à trois griffes ressemblaient étrangement à celui de la fille devant elle. Elle se trouvait peut-être dans une école de mutant avec des griffes, si s'était cela elle irait reporter l'argent immédiatement, elle ne voulait pas de gros problèmes.

- Vous êtes tous comme lui avec des griffes?

Elle remarqua que ses pieds touchaient le sol, elle pouvait donc se sauver rapidement en entrainant la mademoiselle avec elle, mais elle ne voulait pas fuir car elle aurait à l'affronter dans toute les situations, alors autant essayer d'être gentille. Elle continua de fixer son regard sur elle sans la lâcher.

- Quelle était la somme que tu avais, retire tes griffes et je te la rends, si tu as été capable de m'attraper, tu mérites que je te la rendes.

Kalim mit sa main droite dans sa poche, essayant de sortir l'argent, mais les deux griffes bien planter dans le mur réduisait ses mouvements.

- Lâche moi j'ai dis!

Elle ne commençait pas à avoir peur d'elle, mais elle commençait à comprendre qu'elle était dans une situation délicate, elle pourrait très bien partir à la course dès qu'elle l'aurait laissé partir et ceci était bien si elle la laissait partir. Elle l'obligerait peut-être aussi à rendre toute l'argent, et ceci elle ne voulait vraiment pas, sans sa ses parents mourraient de faim.

- Écoute je ne veux aucun problème, je n'ai pas fait ça personnellement, mes parents ont seulement besoin d'argent, mais je vais te rendre ton argent si tu me laisses partir.

- Une fille aussi jolie que toi ne devrait pas voler.

Kalim ramassa l'argent dans l'espace d'une seconde et regarda la fille droit dans les yeux comme elle le faisait depuis plusieurs minutes. Bien sure cette jeune femme n'avait pas répondu à la plupart de ses questions, et Kalim trouva cela mieux ainsi, elle découvrait ainsi que cette fille n'était pas sociable avec les autres, comme elle, par contre Kalim, elle, se trouvait en territoire ennemi. Maintenant débarrassé des griffes, elle se retrouvait plus libre dans ses mouvements pour échapper à ses attaques surprise, plus jamais elle ne se laisserait prendre au même jeu, il fallait apprendre à être plus rapide, plus rapide que l'ennemi, car la prochaine fois, elle ne pourrait ne pas lui laisser de chance et la tuer sur le champs sans demander des explications, elle n'avait aucune attaque, seulement une défense, elle devait apprendre à transformer cette défense en attaque, mais pas aujourd'hui, pas contre elle, cela ne servirait à rien puisque les deux personnes présentent dans cette pièce était satisfait, Kalim avait son argent et l'autre fille aussi avait son argent. Elle voulait lui répondre quelques choses qui ne les laisseraient pas en froid tout les deux, seulement dans un espace neutre, elle n'était pas venu ici pour se faire des ennemis.

- Une fille aussi jolie que toi ne devrait pas grogner.

Elle ne lançait pas cette remarque pour lui faire du mal, seulement lorsqu'elle grognait, cela n'impressionnait pas Kalim et de plus les plis dans son visage plus tard lui laisserait des rides atroces au visage. Elle ne prit pas de recul et resta contre le mur à la seul différence qu'elle mit ses mains dans les poches de son kangourou rouge. Elle laissa son visage à la vue, de toute façon il était trop tard pour le cacher, elle l'avait déjà vu.

Kalim resta figé quelques instants à regarder ce que l'autre mutante faisait, bien sure elle garda l'argent dans ses mains et s'était mieux ainsi pour elle, il serait si facile pour Kalim d'aller prendre l'argent dans ses poches, même si elle ne le ferait pas, elle avait, comment dire, un certain respect pour elle maintenant. Rare était les personnes assez rapide pour l'arrêter et encore moins pour la coincer.

- Attention ma jolie, je pourrais prendre ça pour de la drague... Je me nomme Laura, et toi?

Kalim recula contre le mur, elle savait que son pouvoir déplaçait énormément d'air, elle savait que si elle se déplaçait dans la rue, elle pouvait retourner une voiture seulement en passant proche de celle-ci. Elle ne voulait pas lancer Laura dans les airs seulement en passant proche d'elle. Elle courut à une vitesse impossible à voir derrière Laura, à quelques centimètres d'elle. Elle reçut une poussé de vent dans le dos, mais pas assez pour lui faire perdre l'équilibre.

- Mes amis m'appellent Speedy, je crois que tu comprends maintenant comment j'ai réussi a voler toute les chambres si facilement.

Kalim préférait son nom de mutant qui lui donnait un certain anonymat face aux personnes qu'elle rencontrait. Immédiatement après sa phrase elle se déplaça une deuxième fois, cette fois si elle recula plus loin derrière Laura.

- Tes pouvoirs sont très intéressant, tu m'as traquer avec mon odeur et de plus tu possèdes des griffes aussi tranchante!

Elle avait deviné ceci, car il n'y aurait eu aucun autre moyen de la retracer, si elle avait été filmé, elle était trop rapide pour avoir une image clair de son visage et de plus passant aussi rapidement elle produisait à peine du bruit. Elle utilisa une autre fois ses pouvoirs pour se rapprocher de Laura, il était étrange qu'elle n'est pas peur des griffes de la mutante qui pourrait la traverser comme du beurre, Kalim semblait avoir confiance dans son contrôle de la vitesse.

- J'aimerais pouvoir attaquer les gens moi aussi, je n'ai aucune attaque offensive, je peux seulement fuir mon adversaire. Et non je n'ai pas peur de te le dire, car comme tu as surement remarquer je peux fuir très rapidement. Je te félicites de m'avoir attraper tout à l'heure!

Kalim ne pouvait arrêter de bouger, son pouvoir était une partie de sa personnalité, elle ne pouvait pas rester en place, elle tapait du pied, avançait et reculait. Elle arrêtait seulement ce manège lorsque les choses devenaient sérieuses, et maintenant les choses devenaient sérieuses. Elle arrêta tout mouvement et fixa Laura. Tout défila dans sa tête à la vitesse de l'éclair. Ils étaient maintenant clair que se faire poser des griffes dans les mains ne pouvaient pas être une opération sans douleur, de plus que si elle n'était pas naturel, le corps devait les rejetés causant une douleur chaque fois que celle-ci sortaient de sa peau, mais Kalim remarqua que la peau de ses mains, plus exactement entre ses jointures, n'était pas ouvert. Si de telles griffes sortaient de sa peau, il devait y avoir une coupure, s'était logique, mais il n'y en avait pas. Elle commença doucement à comprendre quel était son véritable pouvoir, mais rien n'était sure encore. Elle pensa aussi que cette opération, elle ne l'avait jamais voulu. Qui s'amusait sur les mutants? Les humains. Kalim serra les poings et imagina ce que cela pouvait être d'avoir été un objet de laboratoire pour des expériences, elle aurait bien grogner comme le faisait Laura, mais elle se retenu. Comment des gens pouvaient oser faire une chose aussi horrible. Comme si le mutant était un rat de laboratoire et que nous n'avions aucun droit, comme si ils étaient nés pour servir d'expérience aux humains. Elle avait toujours détesté les gens autour d'elle, mais depuis qu'elle était devenu une mutante, elle les détestaient encore plus. C'est à cause de eux si chaque matin elle avait peur d'aller à l'école, et encore elle trouvait se problème minable comparé à celui que Laura avait enduré.

- Tu sais, c'est pas tout le monde qui sont comme eux.

Elle ne voulait pas en rajouter plus, devinant que parler de ce sujet ne devait pas être une chose intéressante pour Laura. Elle se rapprocha d'elle à une vitesse normale et lui tendit la main, droit devant elle, elle voulait faire une présentation officielle, finit les jeux enfants où elle coure partout en se présentant sous un faux nom. Elle espérait que Laura ne lui tournerait pas le dos sans lui serrer la main, se qui serait à la fois amusant et déplaisant.

- Mon vrai nom c'est Kalim Turner.

Kalim se sentit basculer vers l'avant et toujours les yeux ouverts elle vu une chose qui la surprit de tout son âme, elle devenu figer ou plutôt traumatiser. Elle ne se sentait pas à l'aise et de plus, Laura avait franchit une limite importante dans l'intimité de Kalim. Elle se sentait en quelques sortes trahis, comme si Laura s'était jouer d'elle depuis le début, elle n'était pas un objet. D'un pouvoir qu'elle ne connaissait pas encore, elle repoussa Laura en mettant ses deux mains sur ses épaules et elle la poussa de toute ses forces pour qu'elle arrête. Sans vraiment comprendre comment elle avait fait, elle avait créer une sorte d'onde de choc et avait envoyer Laura plus loin. Kalim regarda ses mains qui la brulait et après quelques secondes elle releva la tête vers Laura. Elle avait un regard qu'elle n'avait jamais encore montré, un regard qui n'était pas neutre, mais en colère, en colère d'avoir été trahis, qu'elle l'est prit comme un objet et l'est embrasser ainsi, comme si la chose était banalle. Elle remonta rapidement son capuchon sur sa tête et cria très fort dans le portail de l'Institut :

- Ne m'approche plus ! Jamais !

Dès que cette réponse fut donné, Kalim fit la chose qu'elle savait le mieux faire, une chose dans laquelle elle était devenu maitre à ce jeu, elle prit la fuite.