Il y a de l'électricité dans l'air [PV : Shock]

Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 23/07/2013

[Hj: excuse pour le temps, mais j'ai eu un souci d'ordi donc obligé de le réparer et pour clore le tout c'est qu'a la basse mon texte faisait plus, mais le réparateur est un vrai branleur car il m'a tout effacé photo et tout donc ordi vide]

Ce soir la je n'avais rien à faire à l'institut, pour une fois je n'étais pas de corvée de baby-sitting, alors je décide d'aller en ville, pour pouvoir enfin siroter une bonne bière fraîche, car les sodas y'en a marre.
Je me dirige vers le garage, je croisais quelque élève qui n'était pas couché et qui se faisaient sermonner par Tornade.
Arrivé au garage, je pris ma moto un Harley Davidson Panhead de 1964, noir brillant, d'une beauté inégalable, je mis la clé dans la serrure, et je la fis tourné, et là une symphonie de ronronnement envahit le garage, *hum que j'aime ce bruit*.
Je pris place sur la selle, et je suis enfin sorti, lorsque je franchis le portail de l'institut, je me suis sentie enfin au calme.
Après une demi-heure de route, je suis arrivé en centre-ville de New York, et le je cherché un bar qui pourrait bien intéressé, je fis même pas 60 mètres et j'ai trouvé enfin le bar qui me tapa dans l’œil, je gare la moto devant et fis mon entré dans ce fameux bar qui avait pour nom "The yankee Bar'". Je m'assieds aux comptoirs, et commende une bonne bière.
La serveuse me l'amena à la table qui ce trouvé en fait un peux cacher, rien de mieux pour ne pas ce faire remarquer. Et là je l'ai vue, une jolie brune aux yeux d'un vert hypnotique, elle devait mesurer environ 1,60 m, elle ne laisser aucun homme du bar indifférent, c'est vrai qu'elle est belle et sa je pense qu'elle en joue beaucoup, je l'observe avec insistance.
Je l'avais déjà vue quelque par mais où ? Impossible de me souvenir.

Après leurs multiples péripéties, Shock était de retour à New York en compagnie de Crapaud. En rentrant au bercail ils eurent la surprise de voir un autre revenant qui n'était autre que le big boss de la confrérie, Magnéto en personne. Une nouvelle bataille se préparait doucement. Deux jours après son retour, Katharina décida d'aller boire un verre seule dans un bar où elle n'avait pas l'habitude d'aller, histoire d'être tranquille et de pouvoir se poser 2 secondes et de faire le point sur tout ce qui venait de se passé ces derniers temps. Un emploi du temps sur chargé en adrénaline, un nouveau petit copain, le retour de Magnéto avec des projets pleins les yeux. Tout ça cela faisait beaucoup de choses.

La nuit tombait quand la germanique prit le volant de sa Dodge Charger noir de 1969 qu'elle bichonnait soigneusement pour aller au centre de New York. Elle roulait au pas lorsqu'elle repéra un bar dans une petite ruelle. L'endroit idéale. Elle s'y gara et entra. Elle balaya rapidement la pièce du regard et effectivement il n'y avait pas grand monde, que des habitués apparentement et c'était pas plus mal. L'endroit était calme enfin du moins pour le moment. La brune commanda une bière au comptoir puis chercha une place bien tranquille contre un mur de façon avoir un œil sur tout le bar. Elle s'adossa contre sa chaise et se mit a l'aise et but une gorgée de sa bière qui n'était pas mal du tout, puis scruta les individus du bar quand son regard se posa sur un homme dont elle ne distinguait que la silhouette. Il était au fond du bar et la lumière était plus sombre mais elle pu reconnaitre une attitude qui lui était familière et sa chevelure peu commune. Wolverine, l'homme aux griffes en adamantium. Leur regard se croisèrent et la brune resta immobile puis lui fit un rapide sourire en coin soulignant qu'elle l'avait reconnu. Brusquement, elle eu la chaire de poule en repensant à leur première rencontre.

HS : Ok pas de soucis. Mais tu peux préparer ta réponse et l'enregistrer dans le brouillon comme ça il ne t'arrivera plus de mésaventure du même genre avec Word.

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Ce sourire et ce regard, je l'ai est déjà vue, mais oui c'est elle, c'est Shock, elle a bien changé cette petite, se doit bien faire une dizaine d'année que je ne l'ai pas vue mais aussi que je lui ai sauvé la vie, je lui souris à mon tour et je me suis rappelé notre première rencontre.

°o° C'était un soir, il faisait très froid, la neige recouvrait les trottoirs et la route, c'était en décembre, deux semaines précédentes Noël pour être plus exacte. Ce soir-là j'erré dans les rues, une bière à la main, à la recherche de mon passé, de moi-même, cela devait faire plus de 2 heures que je traînais dans les rues lorsque j'entendis des hurlements, mon instinct se réveilla, et je me mis à marché jusqu'au lieu d'ou provin les cris d'une jeune fille.

Je suis entré dans une petite ruelle, et c'est là que je l'ai vue Victor Creed, un mal de tête s'empara de moi, et des flashs de lui et moi m'arrivera, et là je me suis souvenue que c'était mon frère.

Il avait attrapé une jeune fille par le coup et commença à l'étrangler pour ne plus quel cri, et là la fille tourna sa tête dans ma direction et je vis qu'elle appelle à l'aide dans son regard.
Ni une ni deux, je sors mes griffes et accoure sur Victor.

"VICTOR ARRÊTE !", il tourna sa tête me vit et lâcha la fille, et la laissa tombée comme une vulgaire chaussette sur le sol froid, humide et sale de la ruelle.
Et là nous nous sommes affronté pendant plus de 10 minutes sous les yeux de la gamine terrifier, jusqu'au moment où j'ai donné un grand coup de poing dans le vissage de Victor, et là il perdit connaissance. Je me suis enfin retourné vers la gamine, j'ai rentré mes griffes, et je me suis approché d'elle en lui tend la main.

"Viens gamine, c'est fini, je ne te ferai pas de mal, je te le jure." °o°

La brune se souvenait de leur première rencontre comme si c'était hier. Elle était parti 2 mois au USA en voyage chez un parent éloigné. C'était un soir d'hiver, et la jeune femme de 17 ans était partie pour les fêtes faire les boutiques et elle rentrait désormais chez elle seule en arpentant les rues à la lueur des lampadaires. En y repensant elle pouvait sentir le froid lui glacé le visage. La neige tapissait le trottoir. Elle s'engouffra dans une rue peu éclairer quand soudain elle entendit des pas dans la neige qui la suivait. Elle accéléra le pas, et sentit une présence derrière qui se rapprochait. Elle n'osait se retourner mais prit son courage à deux mains et se retourna subitement. Mais rien, il n'y avait personne. Le souffle coupé, à ce moment là elle pensa que son imagination lui avait jouer des tours et continua sa route en longeant la rue paisiblement.

Quand soudain, quelqu'un surgit d'une ruelle sombre et l’attrapa brusquement en la neutralisant rapidement et en lui mettant une main sur la bouche pour étouffer ses cris. Mais Katharina avait toujours eu l'instinct de se défendre et sans plus tarder elle riposta en se débattant et réussit a se libérer des mains de son tortionnaire en lui flanquant un coup de coude dans les côtes. Elle essaya de s'enfuir mais elle ne savait pas à ce moment là à qui elle avait à faire. Son assaillant lui attrapa vivement le bras et la plaqua contre le mur violemment. C'est à ce moment là qu'elle pu enfin voir le visage de agresseur. C'était un homme très grand vêtu d'un manteau noir, son regard faisait froid dans le dos et il arborait un sourire carnassier plein de sauvagerie. Kat remarqua ses griffes acérés, il avait tout d'un animal enragé. Il était comme elle, un mutant. La jeune femme était pétrifié et n'avait aucune idée de ce qu'il lui voulait. Elle était prit au piège, paniqué et désespéré elle cria espérant que quelqu'un l'entendrait appeler au secours. Puis l'homme s'approcha d'elle. Il lui caressa le visage du revers de ses griffes. Apeurer elle lui demanda dans sa langue d'origine :

_"Was willst du ?" (Qu'est ce que vous voulez ?)

Mais l'homme ne répondit pas, souri et l'empoigna fermement à la gorge en la soulevant du sol, à ce moment là, elle tenta d'utiliser son pouvoir mais pétrifier de peur et n'ayant pas encore beaucoup de maitrise elle agrippa les bras de son agresseur et tenta de l'électrocuter mais cela n'avait pas l'air d'avoir de l'effet sur lui. La brune se sentit défaillir commençant à manquer d'oxygène quand elle entendu des pas se précipités vers eux. Elle tourna la tête et vit un homme, elle espérerait tellement qu'il lui vienne en aide et ne parte pas lâchement. Puis tout s'accéléra, l'agresseur de Katharina la lâcha, la laissant tomber au sol. A moitié dans les vapes, la germanique reprenait connaissance petit à petit en regardant les deux hommes s'affronter. Ils avaient l'air de se connaitre, son bienfaiteur avec des griffes en métal qui lui sortaient des phalanges, ils semblaient aussi fort l'un que l'autre. La brune était déboussolé. Finalement, son défenseur affligea un énorme coup de poing à son agresseur. Il n'avait pas l'air de se relevé. Puis, l'homme rentra ses griffes et s'approcha de Kat en lui tendant la main.

_"Viens gamine, c'est fini, je ne te ferai pas de mal, je te le jure."

La brune semblait hésiter, elle aura voulu s'enfuir mais avait tellement de questions en tête à lui poser et de toute façon s'il aurait voulu lui faire du mal il l'aurait déjà fait. Elle jeta un dernier coup d'oeil à son oppresseur puis accepta la main tendu de son sauveur. Tout deux partir d'un pas pressé de cette ruelle sombre, Kat ne dit pas un mot pour le moment. Ils arrivèrent près d'une moto, ils la chevauchèrent tous deux, l'homme mit les gazes et ils s'éloignèrent de cette rue.

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°o° Lorsqu'elle eut pris ma main, je la tirais pour qu'on sorte au plus vite de cette ruelle, je la fis monter sur ma moto et la démarra aussi sec. Nous traversons le centre-ville à une vitesse phénoménale, esquivent quelque voiture, nous sommes sorti de la ville, je pris une route de campagne et nous nous sommes dirigé vers ma maison dans les bois, elle se trouver à au moins 5 kilomètres de là où nous étions.

Au bous d'une dizaine de minutes nous sommes enfin arrivé chez moi, un petit chalet tout en bois, le bruit de la rivière qui passé juste à côté avez le don de m'apaiser, enfin je gare la moto dans le petit cabanon de jardin qui ce trouvé à côté, je couvris la moto et ressortis dehors pour rejoindre la jeune fille, j'enlevais ma veste et la lui posa sur les épaules, elle avait l'air congelé.

Je la fis entrer dans la maison, et je me dirigeai vers la cheminée. "Installes-toi gamine, je vais rallumer le feu", je pris quelque brindille et je commence à faire de la braise, lorsque les brindilles avaient bien brûlé je mis une bûche dans la cheminée, je me lève et me dirige vers la cuisine, au passage je regardais toujours la jeune fille.

"Tu veux boire quelque chose . J'ai du café, et je peux même te faire un chocolat chaud si tu veux ?", dis-je tout en ouvrant le frigidaire. Je vis qu'elle m'observait avec un regard étrange, je devais lui faire peur quand même, et puis c'est bien normal, un sombre inconnu qui lui sauve la vie et limite l'enlève pour enfin la ramène chez lui et lui propose un chocolat chaud, c'est vrai que c'est étrange.

"Ne t'inquiet pas, je ne vais pas t'empoisonner !", je lui souris. °o°

Ils filèrent pleins gazes sur la route. Katharina serra très fort l'inconnu de peur le lâcher, c'était ça première virer en moto. Ses cheveux volèrent aux vents. Elle n'avait aucune idée d'où ils allèrent et de ce qu'il se passait. Elle était pétrifier de peur. Tout était allé si vite. Mais, piquer au vif par la curiosité et par la situation dangereuse et les conditions palpitantes, elle se laissa entraîner. Elle avait toujours eu une âme d'aventurière. Elle sentait l'adrénaline monté et malgré la multitude de risques elle avait décidé de suivre l'étranger.

Il quittèrent la ville et regagnèrent un coin plus calme. L'inconnu ralentit la cadence puis s'arrêta près d'un chalet. La jeune femme ne dit un mot. Elle se posait un tas de questions mais n'osait ouvrir la bouche pour le moment. Elle observait. L'homme bienveillant la couvrit avec sa veste. Elle se sentait apaiser de cette intention mais restait sur ces gardes puis le suivit et tous deux entrèrent dans le chalet. La gamine guettait de ses grands yeux verts l'intérieur. Et apparemment, l'homme vivait seul, non pas que c'était un capharnaüm mais elle avait remarqué qu'il n'y avait aucune touche féminine. Il y avait le principal, c'était confortable et c'est tout. L'homme semblait calme et posé, il rallumait le feu puis lui proposa même un chocolat chaud. Kat semblait hésité. Son regard méfiant ornait son visage. Son père travaillant dans les services secrets en Allemagne lui avait toujours dit de ne jamais faire confiance aux inconnus et surtout s'ils démontraient de bonnes intentions. Toujours rester sur ses gardes. Un loup peut sommeiller en chaque personne. Il n'avait pas tord. Mais elle avait tant de questions qui restaient en suspend. Elle brûlait d'envie d'en savoir plus. Il ajouta un sourire. Puis elle dédaigna enfin décroché un mot et déballa ce qui lui préoccupait l'esprit.

_"Oui, je veux bien un chocolat chaud." Dit elle précipitamment.

Puis, elle s'assit sur une chaise et fixa sérieusement du regard l'inconnu. Elle surmonta sa peur et paraissait maintenant plus calme et détendue. Elle était allemande. Elle se concentra sur le vocabulaire à utiliser puis se lança sur une série de questions. Son père parlait couramment avec elle l'anglais, ce qui lui facilita la tâche.

_"Qui êtes vous ? Que me voulait cette homme ? Pourquoi m'avoir emmener ici ?

Puis elle détourna son regard sur les mains de l'inconnu se remémorant l'apparition de ses griffes.

_"Vous êtes un mutant ?

Kat n'avait pas un regard craintif concernant la particularité de l'inconnu. Elle semblait plutôt compatissante. Mais Ce n'était pas tous les jours qu'elle rencontrait un mutant. Elle même cachait ses talents aux autres pour se fondre dans la masse. Elle ne savait pas si l'homme savait qu'elle aussi avait le gêne X.

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