Aïleen O'Connell

Avec retard, mais sans oubli! Voici ma fiche!


Pseudo : Leenie

Prénom : Aïleen
Nom : O’Connell

Âge : 20 ans

Physique :
Aïleen est une jeune fille d’environ 1m68. Elle possède de longs cheveux blonds qui tombent en cascade sur ses épaules, encadrant un visage longiligne, aux traits fins et délicats. Ses yeux sont d'un bleu océan, aussi mystérieux que ce dernier par ailleurs... Tantôt calmes et pâles, tantôt foncés et orageux, ils changent en fonction de l'éclairage ainsi que de l'humeur de leur propriétaire. Ce côté imprévisible donne à notre jeune personne un côté envoûtant. De longues jambes effilées, ainsi qu’un buste mince et élégant viennent compléter ce portrait à la fois sportif et élégant.

Caractère :
Aïleen est une jeune fille très curieuse et « touche-à-tout ». Elle s’intéresse aussi bien à l’histoire, qu’aux langues, à la littérature, aux sports, à l’actualité globalement. Cette jeune demoiselle venant tout juste de changer de dizaine porte un intérêt tout particulier à certaines langues anciennes, ainsi qu’aux origines des peuples. Malgré tout, elle reste une pré-adulte légèrement têtue, détestant les maths, et obstinée dans ce qu’elle fait, ce qui peut-être aussi bien un défaut qu’une qualité… Tout dépend du point de vue ! En plus d'être une jeune femme à tempérament déterminée, c'est une grande sentimentale, sensible à la beauté et à la profondeur des choses. Elle ne donne pas facilement sa confiance, mais une fois celle-ci partagée, elle restera une amie et camarade fidèle, prête à tout pour rendre service, dépanner, quitte à se sacrifier. Elle est très attachée à la seule famille qu'il lui reste, bien qu'à présent ils soient séparés par un océan et de nombreux kilomètres.

Histoire :
« C'est fini... Laisse moi !
- Ne dis pas d’imbécillité ! On va s’en sortir tous les deux !... Evelyn ?... Evelyn !! »
Malheureusement, la jeune femme ne répondait plus. Elle avait fait les frais de trop de stress, et les récents événements qu’elle venait de vivre l’avaient poussée à bout…
Revenons quelques mois en arrière :
Imaginez le port de Gizeh sous un soleil ardent. La chaleur y est presque insoutenable, mais la foule continue son bavardage et son va-et-vient incessant, telles le clapotis des vagues qui font onduler le Nil à cette époque de l’année. Un homme se tient debout sur le ponton d’un ferry, enlaçant dans ses bras, une jeune femme aux longs cheveux d’or. Lui, penche son visage dans son cou, et la serre plus fort que tout… Papa… Il allait être papa. Il sentait que tout allait changé, qu’il allait devenir quelqu’un d’autre, que la venue de ce petit être le mettait en joie, et il était sûr de sentir son amour croître en son cœur. Elle ? Elle se tenait blottie entre ses bras forts, et sentant comme un flux d’amour passer du corps de son amant au sien, elle laissa couler quelques larmes de joies, elle qui jusqu’alors avait tremblé de lui annoncer la nouvelle. Elle était égyptologue et travaillait au musée national du Caire, et lui enseignait l’anglais, l’italien, l’allemand, et le grec ancien, l’art des hiéroglyphes et le français au Lycée supérieur de Gizeh. Ils s’étaient rencontrés par hasard dans un bus tombé en panne, il l’avait invité à dîner, et depuis cette soirée, ils ne s’étaient plus quittés.
Le temps passa, et un beau matin d’octobre, il l’avait conduit sur le plateau de Gizeh, où elle devait rejoindre un chantier de fouille. Lui, avait pris sa journée, et avait choisi de l’aider dans son travail, sa maternité touchant presque à son terme, il ne fallait guère commettre d’imprudence ! Pas maintenant que cette petite fille allait naître. Il s’inquiétait pour Evelyn, mais elle semblait animée par une force dont nul ne pouvait comprendre la provenance. Une fois sur place, ils descendirent dans l’antichambre que les ouvriers avaient dégagés en compagnie de deux autres personnes… Seulement, une troisième les avait suivi, et tandis qu’ils étaient occupés à décrypter un cartouche, en profita pour sortir une arme et les mettre en joue :
« On ne bouge plus, et pas d’actes héroïques je vous prie. Vous pensiez réellement, que j’allais vous laisser vous attribuer cette découverte ? L’argent et la postérité seront à moi, je vous laisse la poussière et les momies : ce tombeau va devenir votre tombeau… » Et à ces mots, le gredin avait lancé un explosif puis en profita pour prendre la fuite, tandis que le sable et la pierre ensevelissait les deux compagnons d’infortunes dans un coin de l’antichambre. Evelyn avait été poussée par son mari contre l’un des murs porteurs juste avant qu’une partie du plafond s’effondre. « Cillian ! » avait-elle crié ! Plus de peur que de mal : il allait bien, malgré s’être pris un éclat de roche en plein sur l’épaule… Tout autre aurait eu l’épaule disloquée. Le temps passa tandis qu’ils appelaient à l’aide. Personne ne paraissait. Elle, commença à suffoquer et lui ne savait plus que faire. « Reste avec moi » lui avait-il murmuré… Le corps prenant le pas sur l’esprit, elle perdit connaissance quelques instants avant que les secours n’arrivent. Lui désespéré, ne cessait de la serrer dans ses bras, comme il l’avait fait 9 mois plus tôt sur le port de Gizeh. L’un des sauveteur, après l’avoir examinée vint trouver notre infortuné ami pour lui dire la triste nouvelle : si l’on ne faisait rien, elle perdrait l’enfant, et la vie… Il devait choisir de sauver l’enfant ou Evelyn.
Elle, avait repris connaissance, mais demeurait faible. Il pleura, elle aussi… Et dans un dernier soupir avant de s’endormir, il lui promit de toujours l’aimer et de s’occuper de leur fille, qui fût sauvée dès sa naissance quelques minutes plus tard : Aïleen était née.

Suite à ce drame, Cillian O’Connell avait regagné son Irlande natale, rapatriant le corps de son unique amour. Malgré une douleur déchirante qui toujours l’animait, il fit son possible pour que son « petit ange » ne manque jamais de rien. Il lui fit découvrir le monde, et la petite Aïleen, qu’il appelait affectueusement Leenie, devint l’enfant la plus curieuse et espiègle que la terre d’Irlande ait jamais portée. Joueuse et fine, elle était très épanouie. Lui, souvent muté en raison de ses dons linguistiques dans diverses parties du monde, l’emmenait toujours avec lui, la surveillant, et lui enseignant tout ce qu’il savait : à huit ans, elle parlait couramment anglais, français, italien, et connaissait quelques rudiment d’allemand. Le soir, avant de rejoindre les bras de Morphée, elle réclamait toujours un baiser de son père : « Baciami ancora, Papa ! », et lui de sourire en l’embrassant « One last kiss, then you go to sleep !». Elle promettait que c’était le dernier, et le serrait fort dans ses bras avant de s’endormir.
Le temps passa, et arriva le temps où notre professeur polyglotte vint à être muté aux Etats-Unies. Ils demeurèrent un temps durant à San Francisco où l’irréparable faillit bientôt se produire :
Un jour qu’ils étaient partit faire les courses dans une petite superette, qu’un braquage eut lieu. Cillian tenait sa fille contre lui en père protecteur. L’individu était armé, et lui ordonna d’aider le caissier à vider son tiroir-caisse. Il fût donc contraint de laisser sa fille seule, à côté d’une vieille dame et d’un homme d’une quarantaine d’année. Seulement, alors qu’il s’exécutait, l’homme à côté d’Aïleen se jeta sur l’agresseur tentant de lui arracher son arme. Sentant venir la catastrophe, et lisant la terreur sur le visage de sa fille, il se précipita et la prit dans ses bras, présentant son dos au conflit juste avant qu’un violent coup de feu ne retentisse.
« Tout va bien ma chérie, je suis là…
-Monsieur… vous… vous… vous avez été touché. »
La balle était venue se loger dans le dos de notre héros qui ne semblait pas en ressentir l’effet. L’agresseur et les autres personnes ici présentes se mirent à hurler, pris de panique :
« Un… Un mutant ?... C’est un mutant ! UN MUTANT ! ». La sirène de police retentit, laissant le temps à l’agresseur le temps de s’enfuir. Les agents, entendant les cris et regardant le dos perforé, qui ne l’était plus, embarquèrent Cillian et Aïleen de force dans leur véhicule et les conduisirent au commissariat. Là-bas, ils furent placés dans une salle fortement équipée. Notre jeune père cherchait à rassurer sa fille. Il lui caressait les cheveux en murmurant des paroles douces au creux de l’oreille de cette jeune adolescente. Finalement, un groupe d’une quinzaine de personne passèrent la porte, et une voix rauque fit se glacer le sang de la jeune fille aux cheveux d’or : « Séparez les, elle doit être mutante elle aussi. »
Quatre hommes se jetèrent sur nos deux amis. Lui tentait de résister, tenant la main de sa fille qui lui était arrachée. Elle hurlait, se débattait, mais rien n’y faisait. Alors qu’on la maintenait dans un coin de la pièce et qu’on tentait de le faire sortir, tandis que l’un et l’autre hurlaient leurs noms, une chose incroyable se produisit. Une lueur verte éclaira le regard de notre petite héroïne... Et tandis que son visage se crispait de colère, elle leva les yeux et un faisceau bleu incandescent transperça le plafond, faisant s’effondrer nombre de débris sur les personnes présentes. Ses bourreaux la lâchèrent désorientés par ce qui venait de se produire. Elle-même ne savait pas réellement ce qu’elle avait fait, et demeurait abasourdie. Elle vit son père fondre vers elle, la saisir dans ses bras, et l’emmener loin de cet endroit. Sous le choc, elle perdit connaissance...
Lorsqu’elle se réveilla, elle était couchée dans une chambre d’hôtel. Elle regarda autour d’elle et vit son père assit sur une chaise qui la regardait. Ils restèrent un moment sans rien se dire, puis se fût lui qui rompu le silence :
« Leenie, mon ange… Nous ne sommes pas comme tout le monde. Nous sommes différents, certes, mais cette différence n’est pas mauvaise. Sache qu’elle ne l’est jamais. Il faut savoir cependant, que n’étant pas aimés du monde, il nous faut rester dans l’anonymat, et nous contrôler. A partir d’aujourd’hui, tu vas apprendre à être normale, tout en ne perdant pas de vue ce que tu es… »
Et s’approchant d’elle, il lui caressa la joue, et plongea son regard dans le sien :
« Tu es quelqu’un d’exceptionnel, mon petit ange… Un petit rayon de soleil. ». Il avait sourit, elle avait pleuré. Il l’avait consolé, elle fût rassurée : une nouvelle vie pouvait commencer.

Ils s’installèrent dans la banlieue de New-York, elle passa ses diplômes via l’école par correspondance et appris à faire usage de son pouvoir, non sans effets secondaires, puisqu’il lui arrivait, après en avoir trop fait usage de se retrouver atteinte de fortes migraines, la contraignant à porter des lunettes de soleil comme une aveugle. Par ailleurs, il lui arrivait lors d’accès de colère, ou de tristesse de sentir ses yeux la brûler : les rayons approchaient. Deux scénarios étaient alors possibles : soit elle se contrôlait, soit elle sortait en courant de la maison, et conservait les yeux fermés jusqu’à un endroit dissimulé par des plantes, où elle les ouvrait, laissant sa hargne et sa peine s’enfuir par son regard.
Finalement, une fois qu’elle eût atteint ses 19 ans, son père jugea bon de lui faire intégrer la société, bien qu’elle le redouta encore. Cela commença doucement, elle fit quelques baby-sittings, allait assister à des cours en auditeur libre, et donnait occasionnellement des cours de soutien en langues, maintenant qu’elle maîtrisait autant de langues que son père. Pour ses vingt ans, son père lui avait réservé une surprise… Il savait qu’elle mourait d’envie d’intégrer une école afin d’obtenir de se perfectionner dans d’autres domaines. Il avait soumis son cas à un institut pour surdoués dit « du professeur Xavier ». Ses capacités linguistiques avaient, semble-t-il, impressionné la direction qui avait accepté de l’intégrer dans ses rangs. La jeune femme était folle de joie ! Certes, il lui faudrait faire attention à rester maître d’elle-même, et à contrôler ses yeux, mais elle pourrait renouer avec un monde qu’elle n’avait plus fréquenté avec assiduité depuis de longues années. Son père quand à lui, allait repartir pour l’Irlande, afin d'intégrer l'école de son village natal en tant que directeur et enseignant. Quelques jours avant son départ, il offrit à sa fille un pendentif : une croix celtique argentée.
« Ta mère la portait… Je suis sûre qu’elle aurait aimé te voir la porter. ».

S’en suivit une séparation difficile. Jamais l’on avait vu pareille relation père-fille. Ce ne fût pas sans un léger pincement au cœur qu’elle accompagna son père à l’aéroport. Ils se quittèrent, promirent de rester en contact aussi souvent que possible, ce n’était pas les moyens de communications qui manquaient.
Le lendemain, notre jeune demoiselle se mit en route pour l’institut… Quelques angoisses lui étreignaient le cœur, mais elle allait les surmonter : Son père lui avait tout appris, et elle sentait que, où qu’elle aille, il resterait dans son cœur, tandis que du haut du ciel, elle imaginait une femme lui ressemblant étrangement lui murmurer à l'oreille d"une voix douce :
« Bravo ma chérie… »


Type : Mutant
Pouvoirs : De ses yeux jaillissent des rayons puissants de couleur bleues. Ils sont une arme efficace. Elle les contrôle du mieux qu'elle peut, néanmoins leur utilisation n'est pas sans avoir quleques effets secondaires par moments (migraines ophtalmiques, fatigue). Aïleen n’est pas contrainte à un port de lunettes à la différence de Cyclope, qui lui y est forcé suite à un accident.

Quel camp souhaitez-vous intégrer? euh… Institut ?^^

Avatar : Kristen Bell

Code règlement : code OK par Crapaud


Votre âge : 19 ans… 20 en août !... Le changement de dizaine se rapproche dangereusement !!!
Où avez-vous connu le forum ? Google is my friend !

Bonne Année!!!

Bonsoir et bienvenue .

Bonne fiche, jolie écriture, c'est sympa.
Je ne vois rien à redire, hormis peut être que la partie caractère est un peu courte, mais sinon c'est bon, je te valide.

Bon jeu !

Toad.

Un grand merci Monsieur Crapaud!

Par ailleurs, je me suis permis de rajouter quelques lignes au caractère. il est vrai que bon... Ça méritait bien quelques lignes en plus!!!

Encore Merci!

Surper fiche mais juste un truc,je ne sais pas si tu a remarquer mais nous avons le meme avatar enfin c'est la même personne...je ne sais pas coment on fait dans ce cas la parce que sa va peut etre poser probleme sauf si nous somme jumelle mais bon...apres j'en ai aucune idée...

Ah zut ! J'avais pas remarqué ça!

Je me vois contraint et forcé de te demandé de changé d'avatar ( je m'adresse bien sur à Aïleen ) . Étant donné qu' Elana était là avant toi, c'est à toi d'effectuer la modif ! Désolé !

Pas de souci Elana
Je m'en occupe, mais dans ce cas, faudrait juste que vous mettiez le sujet des "avatars pris" à jour.

Je me fais un autre kit d'ici quelques minutes, le temps de trouver une autre "blonde".
____
EDIT:

Ça y est! J'ai changé les détails concernant les yeux, pour être en accord avec mon avatar.
Par contre je ne l'ai pas vu dans la liste, mais, juste histoire d'être sûre... personne n'avait pris cette actrice?

Bienvenue. Une élève comme moi mais qui n'a pas besoin de lunettes, c'est pas juuuuuuste

Désolé pour les avatars, on a pas regardé depuis un moment

Merki beaucoup! Et c'est pas grave pour l'avatar Mr Cyke !

Au plaisir de peut-être rp avec l'un d'entre vous!