Ruelle
L'homme qui avait trouvé Falacy avait finit par accepter de l'aider. Thomas, lui, ne c'était pas trouvé très convaincant mais cela avait semblé suffir. Parcontre, l'inconnu semblait vouloir quelque chose en retour. Cette chose n'était pas nécessairement matérielle mais plutôt un service ou quelque chose qui impliquer de l'aider dans ses actions et ses idées. Si cette homme lui sauvait la vie, il ne voyait pas comment il pourrait refuser. Et qui sait, peu-être que cela l'intéresserait. Peut-être que les deux mutants avaient des idées et des valeurs qui allaient dans la même direction.
C'est alors que son interloccuteur sortit un bâton. Enfin, cela semblait en être un. Il n'avait aucune idée de ce qu'il voulait faire avec mais il le trempa dans son sang qui gisait sur le sol. À la suite, il se pencha à nouveau vers lui puis blagua pour enfin lui dire qu'il était un mutant et que c'était ce qui l'intéressait.Ce bâton devait surement être un détecteur de gêne mutant. Il lui disait aussi que des hommes allaient venir le chercher et qu'il ferait mieu de se tenir tranquille lors de leur venu. Parcontre, il n'avait pas vraiment de soucis à se faire avec cela puisqu'il allait surement perdre consience d'ici là.
L'inconnu finit par partir, comme si de rien était. De toute manière, Thomas n'avait pas eue une très grande réaction durant la venu de l'individu. Mais il ne pouvait pas vraiment faire autrement puisqu'il luttait pour rester concient. Cela puisait toute ses forces. Lorsque l'homme étrange partie, Falacy ferma les yeux puis sombra peu à peu dans l'inconsience. Il ne se rendit pas compte que hommes étaient venuent le chercher.Ceux si l'avait chacun empoigné sous un bras puis l'avait trainé jusqu'à une voiture. Il l'avait installé sur la banquette arrière, ne faisaint pas vraiment attention, agissant plutôt comme s'il était un vulgaire objet.
Confrérie, infirmerie
Arrivé à la confrérie, les deux mutants le trainairent de la même manière qu'ils l'avaient fait plus tôt jusqu'au sous sol. Ils l'installèrent sur une table d'opération en métale puis le laissère. Un autre homme finit par arriver.
À son réveil, falacy se sentait très faible mais la douleur au ventre était moins intence. Cela lui prit un bon moment avant de reprendre complètement concience. Une fois cela fait, Thomas se rendit compte qu'il était couché sur une table, dans une salle éclairé. En tournant la tête il remarqua des appareil d'hôpitale. Il était dans une salle d'infirmerie mais pas dans un hôpital. Il se rappela alors de l'homme et de ses paroles. Il était surement chez lui. Falacy voulu alors bouger mais quelque chose l'en empêchait. Il était attaché à la table au niveau des poignets, des chevilles et de la taille. Peut-être que l'homme qu'il avait rencontrer avait peur que celui-ci s'échappe. Thomas soupira, ne voyant pas vraiment ce qu'il pouvait faire. C'est alors qu'une porte s'ouvrit.